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LE PIRE N’EST JAMAIS CERTAIN …

Est-ce de trop s’être fait traiter de poulet qui se dégonfle ?  Le président Donald Trump a finalement choisi de frapper 3 cibles militaires iraniennes bien avant la fin de la période de 2 semaines qu’il s’était accordé. 

Le TACO (Trump Always Chickens Out) sigle dont les intervenants  qualifiaient volontiers le président américain aura peut-être conduit à un acte géopolitique majeur. Et pourtant depuis l’accélération brutale des conflits au Moyen-Orient les marchés semblent étonnement résilients. Certes le pétrole a gagné 15 % quand Israël a frappé l’Iran mais les indices d’actions ont en revanche peu réagi, quant à l’indice de volatilité il reste sagement autour du niveau de 20 :  ce n’est pas la complète sérénité mais on est loin des niveaux de stress d’avril par exemple. Nous revenons plus en détail dans ce document sur les raisons de cette dichotomie. Pour aller au but les allocations n’ont pas été significativement modifiées depuis le début du conflit Israël-Iran, en cela la position adoptée s’appuie sur l’analyse détaillée dans cette lettre et reflète l’expression populaire que dans les marchés le pire n’est jamais certain… 

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